Où sommes-nous quand on lit le poème ? je me le suis demandé. Si on est dans le poème, c’est bien. C’est qu’il vous a accueilli, qu’il était assez perméable pour ça, et, en sa compagnie, les yeux s’ouvrent, l’âme s’élève un peu, et le cœur s’agrandit. Ça en fait des choses, n’est-ce pas ?